Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

France conquise mais pas soumise !

24 avril 2012

CE QUE L'ON VOUS CACHE

Publicité
Publicité
22 avril 2012

Intolérance juive


Iran-Teheran-Juif-21avril2011-1


On a beaucoup parlé du «racisme» juif. Et on a fait de la doctrine du «peuple élu» une expression de ce «racisme». En réalité, aux yeux des Juifs de l'Antiquité -- j'entends, naturellement, des Juifs orthodoxes, -- l'appartenance à leur race, c'est-à-dire à la «famille d'Abraham», n'avait de valeur que si elle était alliée au service exclusif du «Dieu jaloux», Yahvé, protecteur exclusif d'Israël. D'après la Bible, les Mohabites et les Ammonites étaient, racialement, très près des Juifs. Les premiers ne descendaient-ils pas de Moab, fils de Lot et de sa propre fille aînée, et les seconds de Ben-Ammi, fils de Lot et de sa propre fille cadette?  Or Lot, fils de Haran, était neveu d'Abraham . Il ne semble pas que ce lien de parenté ait facilité les rapports entre les enfants d'Israël et ces peuples. Si le sang les unissait, leurs cultes respectifs les séparaient. Chemosh, le Dieu des Moabites, et Milcom, le Dieu des Ammonites étaient, aux yeux des Juifs, «des abominations» -- comme tous les dieux de la terre, sauf le leur -- et leurs adorateurs, des ennemis à exterminer. 

Le racisme juif, indépendant de toute religion, -- l'attitude qui consiste à accepter comme juif et à traiter en conséquence tout homme né tel, quelles que puissent être ses croyances -- me paraît être quelque chose de récent, datant tout au plus du 18ème ou du 17ème siècle, c'est-à-dire de l'époque où les maçonneries d'inspiration israélite ont commencé à jouer un rôle déterminant dans la politique des nations d'Occident. C'est peut-être un produit de l'influence du rationalisme occidental sur les Juifs -- malgré eux. Il a trouvé son expression la plus spectaculaire à la fin du 19ème siècle et au 20ème, dans le Sionisme, qu'on pourrait appeler un nationalisme juif d'avant-garde. Ce mouvement respecte, certes, la tradition religieuse du Talmud et de la Bible, mais sans s'identifier à elle en aucune façon. Sa foi politique est «nationale», mais ne saurait être comparée à celle de la Grèce moderne, elle aussi inséparable de la religion d'Etat. Mais je l'appellerai un nationalisme plutôt qu'un «racisme», car elle implique l'exaltation du peuple juif en tant que tel, sans la conscience enthousiaste d'une quelconque solidarité de sang unissant tous les peuples du désert que l'on a coutume d'appeler «sémitiques». 

Moderne dans son expression, ce nationalisme n'est pas, toutefois, dans son essence, différent de la solidarité qui, après l'introduction de la loi mosaïque, existait entre tous les enfants d'Israël, dès le 13ème siècle avant l'ère chrétienne. La religion de Yahvé jouait alors un rôle primordial. Mais ce rôle consistait justement à faire sentir à tous les Juifs, du plus puissant au plus humble, qu'ils étaient le peuple élu, lepeuple privilégié, différent des autres peuples, y compris de ceux qui étaient le plus près d'eux par le sang, et exalté au-dessus d'eux tous. Cela, les Juifs l'ont senti de plus en plus, dans les Temps Modernes, sansle secours d'une religion nationale; d'où l'importance décroissante de cette religion parmi eux (sauf dans les quelques foyers permanents d'orthodoxie juive). 

En d'autres termes, les Juifs, qui pendant des siècles avaient été une peuplade insignifiante du Moyen-Orient, parmi tant d'autres -- très près des autres, par le langage et la religion, avant Abraham et surtoutavant la réforme mosaïque -- sont peu à peu devenus, sous l'influence de Moïse et de ses successeurs Josué et Kaleb, et puis sous celle des prophètes, un peuple tout rempli de l'idée qu'il se faisait de lui-même; n'ayant que mépris pour les hommes de même race que lui, qui l'entouraient, et à plus forte raison pour les gens d'autres races ; ne voyant en leurs dieux que des «abominations» -- mettant à part, sur l'ordre du prophète Ezra, lors du retour de la longue captivité de Babylone, ceux de ses enfants, demeurés en Palestine, qui avaient épousé des femmes cananéennes, et cela sous le prétexte que celles-ci ne pouvaient que relâcher le lien qui les unissait, eux et leurs familles, à Yahvé, et affaiblir en eux la conscience de «peuple élu», de peuple «pas comme les autres». 

Ils auraient pu demeurer ainsi indéfiniment, isolés du reste du monde par un orgueil national aussi incommensurable qu'injustifié -- car ils étaient, déjà dans l'Antiquité, passablement métissés, quant à la race, ne serait ce que du fait de leur séjour prolongé en Egypte. (Le monde ne s'en fût certes pas plus mal porté, -- au contraire). Ils ne le demeurèrent pas parce que, à l'idée de «Dieu unique» et de «Dieu vivant» -- de «vrai» Dieu, opposé aux «faux» dieux, aux dieux locaux et à puissance limitée des autres peuples, -- ne pouvait moins faire que s'ajouter, tôt ou tard, l'idée de vérité universelle et de communauté humaine. Un Dieu qui seul «vit», alors que tous les autres ne sont qu'insensible matière, tout au plus habitée par des forces impures, ne peut être, logiquement, que le vrai Dieu de tous les adorateurs possibles, c'est-à-dire de tous les hommes. Pour refuser de l'admettre, il aurait fallu attribuer aux dieux des autres peuples aussi, vie, vérité, et bienfaisance, en d'autres termes, cesser de ne voir en eux que des «abominations». Et à cela les Juifs se refusaient, après les sermons et les menaces de leurs prophètes. Le Dieu unique pouvait bien préférer un peuple. Mais il fallait qu'il soit, par nécessité, le Dieu de tous les peuples -- celui que, dans leur folie, ils ignoraient, alors que seul le «peuple élu» lui rendait hommage. 

La première attitude des Juifs, conquérants de la Palestine, envers les peuples adorateurs d'autres dieux que Yahvé, fut de les haïr et de les exterminer. Leur seconde attitude -- alors qu'en Palestine la résistance cananéenne avait depuis longtemps cessé d'exister, et surtout, alors que les Juifs perdaient de plus en plus le peu d'importance qu'ils avaient jamais eue sur le plan international, pour finir par n'être que les sujets de rois grecs, successeurs d'Alexandre, et plus tard d'empereurs romains, -- fut de jeter en pâture spirituelle à un monde en pleine décadence, en même temps que l'idée de l'inanité de tous les dieux (sauf le leur), la conception fausse de «l'homme», indépendant des peuples; de «l'homme», citoyen du monde (et bientôt «créé à l'image de Dieu»), qu'Israël, peuple élu, peuple de la Révélation, avait pour mission d'instruire et de guider au vrai «bonheur». C'est l'attitude des Juifs, plus ou moins ostensiblement barbouillés d'hellénisme, qui du 4ème siècle avant Jésus-Christ jusqu'à la conquête arabe du 7ème siècle après lui, formaient une proportion toujours plus influente de la population d'Alexandrie, ainsi que de toutes les capitales du monde hellénistique, puis romain. C'est l'attitude des Juifs de nos jours, -- celle, précisément, qui fait d'eux un peuple pas comme les autres, et un peuple dangereux: le «ferment de décomposition» des autres peuples. 

Elle vaut la peine que je tente d'en faire l'historique. 

Je l'ai dit: elle était en germe déjà dans le fanatisme de ces serviteurs du Dieu «unique» et «vivant» qu'étaient les prophètes juifs, de Samuel jusqu'aux rédacteurs de la Kabbale. Une chose qu'il ne faut surtout pas oublier, si on veut essayer de la comprendre, c'est que le «Dieu unique» des Juifs est un dieu transcendant, mais non immanent. Il est en-dehors de la Nature, qu'il a tirée du néant par un acte de volonté, et différent d'elle en son essence; différent, non seulement de ses manifestations sensibles, mais encore de tout ce qui pourrait, d'une façon permanente, les sous-tendre. Il n'est pas cette Ame de l'Univers à laquelle croyaient les Grecs et tous les peuples indo-européens -- et en laquelle le brahmanisme voit encore la Réalité suprême. Il a fait le monde comme un ouvrier d'art fabrique une merveilleuse machine: de l'extérieur. Et il lui a imposé les lois qu'il a voulues, et qui auraient pu être autres, s'il les avaient voulues différentes. Il a donné à l'homme domination sur les autres êtres créés. Et il a «choisi» le peuple juif parmi les hommes, non pour sa valeur intrinsèque -- cela est clairement spécifié dans la Bible -- mais arbitrairement, à cause de la promesse, faite une fois pour toutes à Abraham. 

Dans une telle optique métaphysique, il était impossible de considérer les dieux des autres peuples -- et cela, d'autant moins que ceux-ci figuraient, pour la plupart, des Forces naturelles ou des corps célestes -- comme «aspects» ou «expressions» du Dieu unique. Il était aussi impossible de souligner le moins du monde l'indéfinie variété des hommes et l'inégalité irréfutable qui a toujours existé entre les races humaines, voire entre les peuples plus ou moins de la même race. «L'homme», quel qu'il fût, devait avoir en soi, et seul des êtres créés, une valeur immense, puisque le Créateur l'avait formé «à son image», et établi, à cause de cela même, au-dessus de tous les vivants. La Kabbale le dit d'ailleurs très nettement : «Il y a l'Etre incréé, qui créé : Dieu; l'être créé, qui crée : l'homme; et ... le reste : l'ensemble des êtres créés -- animaux, plantes, minéraux, -- qui, eux, ne créent pas». C'est anthropocentrisme le plus absolu, -- et une philosophie fausse au départ puisqu'il est évident que «tous les hommes» ne sont pas créateurs (il s'en faut bien!) et que certains animaux peuvent l'être . 


juif


Mais cela n'est pas tout. Dans cette nouvelle perspective humaniste, non seulement le Juif gardait-il sa place de «peuple élu» -- de «peuple saint», comme le dit la Bible -- destiné à porter au monde la Révélation unique, mais tout ce que les autres peuples avaient produit ou pensé n'avait de valeur que dans la mesure où cela concordait avec la dite révélation, ou dans la mesure où cela pouvait s'interpréter dans ce sens. Ne pouvant nier l'énorme contribution des Grecs à la science et à la philosophie, des Juifs d'Alexandrie, de culture grecque, (et parfois denoms grecs, tel cet Aristobule du 3ème siècle avant Jésus-Christ) n'ont pas hésité à écrire que tout ce que la pensée grecque avait créé de plus solide -- l'oeuvre de Pythagore, de Platon, d'Aristote, -- n'était dû, en dernière analyse, qu'à l'influence de la pensée juive!!! -- avait sa source dans Moïse et les prophètes. D'autres, tel ce fameux Philon d'Alexandrie, dont l'influence sur l'apologétique chrétienne a été considérable, n'ont pas osé nier l'évidente originalité du génie hellénique, mais n'ont retenu, des idées élaborées par lui, que celles qu'ils pouvaient, fût-ce en les altérant, voire en les déformant tout-à-fait, amener à «concorder» avec la conception mosaïque de «Dieu» et du monde [4]. Leur oeuvre est ce produit hybride qui porte dans l'histoire de la pensée le nom de «philosophie judéo-alexandrine» -- ensemble de rapprochements ingénieux de concepts tirés plus ou moins directement de Platon (pas forcément dans l'esprit de Platon) et de vieilles idées juives (telles que la transcendance du Dieu unique et la création de l'homme «à son image»), échafaudage superflu, sans doute, aux yeux du Juif orthodoxe, à qui la Loi mosaïque suffit, mais merveilleux instrument de mainmise spirituelle sur les Gentils, au service de Juifs, (orthodoxes ou non) désirant ardemment arracher à d'autres peuples la direction de la pensée occidentale (et plus tard, mondiale). 

La philosophie judéo-alexandrine et la religion, de plus en plus imprégnée de symbolisme égyptien, syrien, anatolien, etc., que professait le peuple, de race de plus en plus abâtardie, du monde hellénistique, constituent la toile de fond sur laquelle se détache peu à peu, dans les écrits de Paul de Tarse et des premiers apologistes, et se précise au cours de la succession des conciles, l'orthodoxie chrétienne telle que nous la connaissons. Comme le remarque Gilbert Murray, «c'est une étrange expérience ... que d'étudier ces congrégations obscures, dont les membres issus du prolétariat du Levant, superstitieux, dominés par des charlatans, et désespérément ignorants, croyaient encore que Dieu peut procréer des enfants dans le sein de mères mortelles, tenaient le 'Verbe', 'l'Esprit' et la 'Sagesse divine' pour des personnes portant ces noms, et transformaient la notion de l'immortalité de l'âme en celle de 'résurrection des morts', et de penser que c'étaient ces gens-là qui suivaient la voie principale, menant à la plus grande religion du monde occidental» [5]. 

Sans doute y avait-il, dans ce christianisme des premiers siècles, prêché en grec (la langue internationale du Proche Orient à cette époque) par des missionnaires juifs, puis grecs, à des masses urbaines sans race, -- si inférieures, à tout point de vue, aux hommes libres des anciennes poleishellènes -- nettement plus d'éléments non-juifs que juifs. Ce qui y dominait, c'était l'élément que je n'ose appeler «grec», mais «égéen», ou plutôt «méditerranéen pré-hellénique» -- ou proche-oriental pré-hellénique, car les peuples de l'Asie Mineure, de la Syrie et de la Mésopotamie l'illustraient tous, eux aussi, plus ou moins, dans leurs cultes venus du fond des âges. C'était le mythe du jeune dieu cruellement mis à mort -- Osiris, Adonis, Tammouz, Attys, Dionysos -- dont la chair (le blé) et le sang (le jus de raisin) deviennent nourriture et boisson des hommes, et qui ressuscite en gloire, tous les ans au printemps. Cet élément-là n'avait jamais cessé d'être présent dans les mystères de la Grèce, à l'époque classique tout comme auparavant. Transfiguré, «spiritualisé» par le sens de l'allégorie attaché aux plus primitifs des rites, il est manifeste dans les religions internationales «de salut», rivales du christianisme dans l'Empire romain: dans celle de Mithra; dans celle de Cybèle et d'Attys. Comme Nietzsche l'a si bien vu, le génie de Paul de Tarse a consisté «à donner un sens nouveau aux mystères antiques», à s'emparer du vieux mythe préhistorique, à le revivifier, à l'interpréter de telle façon que, pour toujours, tous ceux qui accepteraient cette interprétation accepteraient aussi le rôle prophétique et le caractère de «peuple élu» du peuple juif, porteur de l'unique révélation. 

Historiquement, on ne sait à peu près rien de la personne de Jésus de Nazareth; de ses origines, de sa vie avant l'âge de trente ans, tant et si bien que des auteurs sérieux ont pu mettre en doute son existence même. D'après les Evangiles canoniques, il a été élevé dans la religion juive. Mais était-il Juif de sang? Plus d'une des paroles qui lui sont attribuées tendraient à faire croire qu'il ne l'était pas. On a d'ailleurs dit que les Galiléens formaient en Palestine un îlot de population indo-européenne. De toute façon, ce qui est important -- ce qui est à l'origine du tournant de l'Histoire que représente le christianisme -- c'est que, Juif ou non, il est présenté comme tel, et ce qui est plus, comme le Messie attendu du peuple juif, par Paul de Tarse, le vrai fondateur du christianisme, ainsi que par tous les apologistes qui se suivent au cours des siècles. Ce qui est important, c'est qu'il est, grâce à eux, intégré à la tradition juive; qu'il est le lien entre elle et le vieux mythe méditerranéen du jeune dieu de la Végétation, mort et ressuscité, qu'elle n'avait jamais accepté: le Messie auquel on prête les attributs essentiels d'Osiris, de Tammouz, d'Adonis, de Dionysos, et de tous les autres dieux morts et vainqueurs de la Mort, et qui les repousse tous dans l'ombre à son profit -- et à celui de son peuple -- avec une intransigeance qu'aucun d'eux ne connaissait, une intransigeance typiquement juive: celle de Paul de Tarse, de son maître Gamaliel et de tous les serviteurs du «Dieu jaloux», Yahvé. Non seulement un «sens nouveau» est donné aux mystères antiques, mais ce sens est proclamé le seul bon, le seul vrai, les rites et les mythes de l'Antiquité païenne, depuis les temps les plus lointains, n'ayant fait que le «préparer» et le «préfigurer», tout comme la philosophie antique n'avait fait que sensibiliser les âmes à la réception de la révélation suprême. Et cette révélation est, pour Paul comme pour les Juifs de l'école judéo-alexandrine avant lui, et pour tous les apologistes chrétiens -- les Justin, les Clément d'Alexandrie, les Irénée, les Origène -- qui le suivront, celle donnée aux Juifs par le Dieu «de tous les hommes». 

L'intolérance juive, confinée jusqu'alors à un peuple (et à un peuple méprisé, que nul ne songeait à imiter) s'est, avec le christianisme, et plus tard avec l'islam -- cette réaction contre l'hellénisation de la théologie chrétienne -- étendue à la moitié du globe terrestre. Et, ce qui est plus, c'est cette intolérance même, qui a fait le succès des religions se rattachant à la tradition d'Israël. 

J'ai mentionné les religions de salut -- en particulier celle de Mithra et celle de Cybèle -- qui florissaient dans l'Empire romain au temps où le christianisme en était à ses débuts. A première vue, chacune d'elles avait autant de chances que lui d'attirer à soi les foules inquiètes à qui l'ordre romain ne suffisait pas, ou ne suffisait plus, et qui, de plus en plus abâtardies, se sentaient étrangères à tout culte national, quel qu'il fût. Chacune d'elles offrait à l'individu moyen tout ce que lui promettait la religion de Jésus crucifié -- et cela, avec des rites d'autant plus capables d'entraîner son adhésion, qu'ils étaient plus barbares. 

Au 3ème siècle de l'ère chrétienne, c'était le culte de Mithra -- ce vieux dieu solaire indo-européen, contemplé à travers les mille miroirs déformants que représentaient les races et les traditions de ses nouveaux adorateurs -- qui semblait devoir s'imposer ... pourvu qu'aucun facteur décisif n'intervint en faveur d'un de ses rivaux. Le dieu était populaire chez les légionnaires et chez les officiers. Des empereurs avaient trouvé bon de recevoir l'initiation à ses mystères, sous la douche de sang chaud du Taureau rédempteur. Un nombre croissant de gens du peuple suivaient le mouvement. On peut dire en toute assurance qu'il s'en est fallu de peu que le monde dominé par Rome ne fût devenu mithriaque -- au lieu de chrétien -- pour quelque vingt siècles. On peut dire avec non moins de certitude que, s'il ne l'est pas devenu, cela ne tient ni à une quelconque «supériorité» de la doctrine chrétienne du salut sur l'enseignement des prêtres de Mithra, ni à l'absence de rites sanglants chez les chrétiens, mais bien à la protection accordée à la religion du Crucifié par l'empereur Constantin, et à aucun autre facteur. Or, c'est précisément l'intolérance du christianisme -- elle surtout, sinon elle seule -- qui lui a valu la préférence du maître du monde romain. 

Ce que l'empereur voulait en effet avant tout, c'était de donner à ce monde immense, peuplé de gens de races et de traditions les plus diverses, une unité aussi solide que possible, sans laquelle il lui serait difficile de résister longtemps à la poussée de ceux que l'on appelait les Barbares. L'unité de culte était bien la seule qu'il pouvait espérer lui imposer, à condition encore qu'il y parvint vite. Parmi les religions de salut, si populaires, celle de Mithra comptait, sans aucun doute, le plus grand nombre de fidèles. Mais elle ne promettait pas de se répandre assez rapidement, et cela, d'abord et avant tout, parce qu'elle ne prétendait pas être la seule Voie et la seule Vérité. Elle risquait de laisser subsister longtemps ses rivales, et l'unité tant désirée ne se ferait pas -- ou mettrait des siècles à se faire -- alors que l'intérêt de l'Empire exigeait qu'elle se fît en quelques décades. 

On pouvait en dire autant du vieux culte de Cybèle et d'Attys: ses prêtres ne proclamaient pas, à l'instar des Juifs, qu'eux seuls possédaient la vérité; ils croyaient au contraire, comme tous les hommes de l'Antiquité (sauf les Juifs) que la vérité a d'innombrables facettes, et que chaque culte aide ses fidèles à en saisir un aspect. Ils auraient, eux aussi, laissé les religions rivales de la leur fleurir en toute liberté. 

Le christianisme, quoique pénétré qu'il fut déjà, au 4ème siècle, d'idées et de symboles empruntés soit au néo-platonisme, soit au vieux fond mystique égéen, soit à des formes plus lointaines encore de l'éternelle Tradition, avait, lui, hérité du judaïsme l'esprit d'intolérance. Même ses apologistes les plus éclairés, les plus richement nourris de culture grecque classique -- tels un saint Clément d'Alexandrie ou un Origène qui, loin de rejeter la sagesse antique, la considéraient comme une préparation à celle des Evangiles -- ne mettaient pas les deux sagesses sur le même plan. Il y avait, à leurs yeux, «progrès» de la première à la seconde, et la «révélation» juive gardait sa priorité sur l'écho le plus lointain de la voix du Dieu unique que l'on pouvait déceler chez les philosophes païens. Quant à la grande masse des chrétiens, elle tenait pour «abominations» -- ou «démons» -- tous les dieux de la terre, sauf celui qui s'était révélé aux hommes de toutes races à travers les prophètes de l'Ancien Testament -- les prophètes juifs -- et à travers Jésus et son disciple posthume, Paul de Tarse -- ce dernier, Juif cent pour cent, le premier, considéré comme «Juif», «Fils de David» par l'Eglise, quoiqu'en fait on ignore tout de son origine, et qu'on ait même pu mettre en doute son historicité. 

C'est le lien profond qui rattache le christianisme (et en particulier le «Saint Sacrifice de la Messe») aux mystères antiques, qui en a assuré la survie jusqu'à nos jours. Et ce fut, chez Paul de Tarse, un trait de génie (politique), que d'avoir donné aux plus anciens mythes du monde méditerranéen une telle interprétation qu'il a, par là, assuré à son propre peuple, sur ce monde et sur tous les peuples qu'il était, au cours des siècles, destiné à influencer, une domination spirituelle indéfinie. Ce fut, chez l'empereur Constantin, un trait de génie (également politique), que d'avoir choisi d'encourager la diffusion de la religion qui, en se répandant le plus vite, allait donner au chaos ethnique que représentait alors le monde romain, la seule unité à laquelle il pouvait encore aspirer. Et ce fut, chez le chef germain Clodwig, connu sous le nom de Clovis dans l'histoire de France, encore un trait de génie (politique, lui aussi), que d'avoir senti que rien ne lui assurerait la domination permanente sur ses rivaux, autres chefs germains, autant que sa propre adhésion (et celle de ses guerriers) au christianisme, dans ce monde déjà aux trois quarts chrétien, où les évêques représentaient une puissance à rechercher comme alliée. Génie politique, et non religieux -- encore moins philosophique -- car dans tous les cas il s'agissait de pouvoir, personnel ou national; de stabilité matérielle; de succès, non de vérité au plein sens du mot, c'est-à-dire d'accord avec l'éternel. Il s'agissait d'ambitions sur le plan humain, non de soif de connaissance des Lois de l'être, ou de soif d'union avec l'Essence de toutes choses -- Ame, à la fois transcendante et immanente, du Cosmos. Car s'il en avait été autrement, il n'y aurait eu aucune raison pour que la religion du Nazaréen triomphât pour tant de siècles: ses rivales la valaient. Elle n'avait sur elles qu'un seul «avantage» pratique: son fanatisme, son intolérance enfantine héritée des Juifs -- fanatisme, intolérance qui pouvait faire sourire le Romain ou le Grec cultivé des premiers temps de l'Eglise, et que le Germain, nourri, lui, dans sa belle religion à la fois cosmique et guerrière, pouvait avec raison trouver absurde; mais qui allait donner au christianisme un caractère militant, qu'il était le seul à posséder, puisque le judaïsme orthodoxe demeurait -- et devait demeurer -- la foi d'un peuple. 

Le christianisme ne pouvait désormais être combattu que par une autre religion à prétention également universelle, aussi intolérante que lui. Et c'est un fait que, jusqu'ici, il n'a reculé sur une grande échelle que devant l'islam et, de nos jours, devant cette fausse religion qu'est le communisme. 
 

Notes de Savitri Devi: 

[1] La Bible, Genèse, Chap. 19, versets 36, 37, 38.

[2] La Bible, Genèse, Chap. 11, verset 27.

[3] L'intelligence pratique des animaux n'est plus mise en question; or, elle aussi peut être créatrice, comme le montrent, en particulier, les expériences de Koehler. Mais que l'on songe surtout aux peintures -- éminemment «abstraites» -- exécutées par plusieurs des chimpanzés de Desmond Morris, créations que l'on pouvait prendre et que l'on a en fait, réellement prises, pour des oeuvres humaines de même style.

[4] Edouard Herriot, Philon le Juif, édition 1898.

[5] Gilbert Murray, Five Stages of Greek Religion, édition 1955 (New York), p. 158.

[6] Lui même remplacé à présent par la religion «démocratique» (le «totalitarisme soft»), encore bien plus dangereuse que le communisme, et elle aussi spirituellement totalement soumise au judaïsme. (NDR) 

 

By http://library.flawlesslogic.com/souvenirs_fr.htm

22 avril 2012

Les leçons de Katyn, par René-Louis Berclaz


katyn_plakat_niemiecki_w


En date du 26 novembre 2010, la Douma (le parlement de Russie) a officiellement reconnu que le massacre de 4400 prisonniers de guerre polonais à Katyn (Biélorussie), perpétré entre avril et mai 1940, avait été ordonné par Staline lui-même et que l’Union soviétique était seule coupable de ce crime de guerre.

Il est notoire que le jugement du Tribunal militaire international (TMI) siégeant à Nuremberg de 1945 à 1946, tribunal constitué par les anciennes puissances alliées (Etats-Unis, Grande-Bretagne, France, Union soviétique) pour juger l’Allemagne vaincue, fonde en droit les lois de censure et de répression qui ont érigé la Shoah en dogme historique indiscutable. L’article 19 du statut du Tribunal Militaire International (TMI) issu des Accords de Londres signés par les Alliés le 8 août 1945, statut qui constitue la base juridique du Tribunal de Nuremberg, stipule que : « Le Tribunal ne sera pas lié par les règles techniques relatives à l’administration des preuves (…). » Ce tribunal d’exception pouvait ainsi accepter des pièces à conviction sans s’assurer de leur authenticité et rejeter sans justification des preuves à décharge des accusés. Autrement dit, les Alliés pouvaient, selon leurs intérêts, forger des accusations sans avoir besoin de les prouver et ignorer les pièces favorables aux accusés. En outre, l’article 21 du même statut stipulait que « Le Tribunal n’exigera pas que soit rapportée la preuve de faits de notoriété publique, mais les tiendra pour acquis (…). » Et comme c’est le tribunal lui-même qui décidait ce qu’était un fait de notoriété publique, la culpabilité des accusés était établie d’entrée de cause.

Cette particularité juridique explique pourquoi les juges soviétiques ont pu « interpréter » le crime de Katyn aux dépens des Allemands.

Certes, la décision de la Douma n’apporte rien de nouveau à la connaissance de l’Histoire. En 1943 déjà, la commission neutre enquêtant sur la scène du crime et dirigée par le professeur Naville, expert médecin légiste de Genève, avait conclu à la culpabilité des Soviétiques. En 1946, au cours des débats du Procès de Nuremberg, le juge américain Francis Biddle déclara que l’intervention du procureur soviétique Rudenko chargeant les Allemands du crime de Katyn [document URSS-54] était si arrogante et si calomnieuse qu’aux Etats-Unis « l’auteur d’un tel document serait poursuivi pour outrage à magistrat » et qu’il fallait peut-être envoyer Rudenko« en prison séance tenante ». En réalité, cette déclaration hypocrite relevait du simple effet de manche, puisque l’acte d’accusation avait été approuvé par les quatre puissances alliées.

En 1990, Mikhaïl Gorbatchev, alors président de l’URSS, avait admis la culpabilité des soviétiques dans le massacre de Katyn. Entre 1992 et 2005, les autorités judiciaires de Russie menèrent une enquête et conclurent au non-lieu, sous prétexte que les faits étaient prescrits, en vertu d’une interprétation qualifiant les massacres de Katyn de « crime militaire ». Enfin, en novembre 2010, la Douma confirma officiellement la culpabilité de l’Union soviétique et la responsabilité de la Russie postsoviétique quant aux conséquences du massacre de Katyn, ce qui constitue un fait nouveau de nature juridique ouvrant, à priori, le droit à des réparations en faveur de la Pologne et des descendants des victimes. Le « fait nouveau » est à prendre dans le sens juridique du terme, afin d’éviter toute confusion entre « fait historique » et « fait juridique ». Ce « fait nouveau » repose sur la reconnaissance officielle du fait que des juges soviétiques ont siégé au Tribunal de Nuremberg pour juger le crime de Katyn, alors que d’autres soviétiques, exécutant les ordres de dirigeants soviétiques comme Staline et Béria (chef du NKVD), ont perpétré le crime de Katyn. Par conséquent, la décision de la Douma établit officiellement le « fait nouveau » que les soviétiques étaient juges et parties dans le crime de Katyn. Or, nul ne peut être à la fois juge et partie dans la même cause. Ce « fait nouveau » reconnu comme tel pose la question de la validité même du Tribunal de Nuremberg. Quant à sa légitimité, de nombreux auteurs, dont les pionniers furent Maurice Bardèche et Gaston-Armand Amaudruz, avaient mis en évidence, il y a une soixantaine d’années déjà, le caractère exceptionnel des Statuts et des débats de ce Tribunal militaire, en complète rupture avec l’idée que l’on se fait du Droit et de la Justice depuis Portalis. Rappelons que ces Statuts furent élaborés avant la fin de la Deuxième guerre mondiale à l’initiative du Congrès Mondial Juif (CMJ) par deux éminents juristes juifs lituaniens, Jacob et Nehemiah Robinson. En 1946, l’Assemblée générale des Nations Unies a déclaré dans sa résolution 95 que les Statuts et le jugement du Tribunal militaire de Nuremberg sont reconnus en tant que normes impératives de droit international. Ce jugement a donc force de loi sur la planète entière. Il s’agit bien là d’un redoutable instrument de coercition contre la souveraineté des Nations et contre la liberté d’expression. Mettre en question le bien-fondé du jugement de Nuremberg en affirmant sa nullité, c’est mettre en cause le principe même des lois de censure et de répression qui en découlent, sans oublier une possible révision des jugements prononcés contre les révisionnistes. Or, la critique des lois n’enfreint aucune loi. Et comme le jugement de Nuremberg a été promu au rang de norme impérative de droit international, il paraît licite, à preuve du contraire, de débattre de cette question. La loi Fabius-Gayssot qui nous interdit de contester le jugement de Nuremberg nous autorise encore à discuter du bien-fondé de ce même tribunal. Or, le jugement du Tribunal de Nuremberg, sans pour autant disculper l’Allemagne accusée à tort de ce crime par le procureur soviétique, le général Rudenko (document URSS-54), avait occulté l’identité du véritable coupable, à savoir l’Union soviétique elle-même. A l’évidence, le Tribunal de Nuremberg ne pouvait se permettre de juger l’un de ses membres sans se contredire et se disqualifier. Triomphe de l’iniquité, sept prisonniers de guerre allemands furent même pendus à Leningrad par les Soviétiques en 1946 pour avoir, soi-disant, participé aux exécutions de Katyn. L’historien allemand Friedrich Karl Pohl a donné dans l’hebdomadaire Rivarol du 7 mai 2010 les précisions suivantes : « A l’hiver 1945/46, dix prisonniers de guerre allemands furent accusés dans un procès à Leningrad d’être responsables du massacre de Katyn où le NKVD soviétique avait assassiné 4 400 officiers polonais. Tous les accusés ont avoué leur culpabilité. Naturellement, on connaît les méthodes avec lesquelles les aveux ont été obtenus dans ce procès bidon. Trois soldats furent condamnés aux travaux forcés, mais sept à la peine de mort. Ils furent pendus sur une grande place à Leningrad, devant une foule énorme. Le gouvernement allemand n’a jamais rien fait pour réhabiliter ces compatriotes. Dans le Procès de Nuremberg, le juge colonel soviétique Pokrowsky, avec des documents falsifiés, a accusé les Allemands pour ce massacre. »

Des soviétiques, membres d’un tribunal constitué pour juger, entre autres, le crime de Katyn, ont siégé en qualité de juges au Procès de Nuremberg. D’autres soviétiques, aux ordres de dirigeants soviétiques comme Staline et Béria, ont perpétré un crime d’Etat à Katyn. On ne peut être juge et partie. La seule présence de juges soviétiques dans cette même cause implique à posteriori leur récusation, voire même leur inculpation pour forfaiture et, par conséquent la nullité, dans un Etat de droit, d’un jugement tel que celui rendu au terme du Procès de Nuremberg.

La Douma de Russie a prononcé le 26 novembre 2010 la nullité du jugement de Nuremberg.

Il est inconcevable qu’une juridiction, en l’occurrence le TMI, puisse ignorer et même couvrir, en toute connaissance de cause, un crime perpétré par l’un de ses membres et qu’ensuite un tel jugement soit reconnu par un Etat de droit, comme c’est le cas de la France, et ceci quand l’auteur du crime, juge et partie, en fait officiellement l’aveu.

La chaîne de causalité, qui va du tribunal de Nuremberg aux tribunaux actuels jugeant et condamnant des révisionnistes contestant le jugement de Nuremberg, a donc été brisée par ceux-là même qui l’avaient forgée et ouvre le droit à la révision de tous ceux qui furent condamnés par le jugement, ou par les effets pervers induits par ce même jugement, prononcé en 1946 par le Tribunal militaire international de Nuremberg.


By Propagandes.info

21 avril 2012

Hitler et la France (1938) par Grimm Frédéric

2010-12-30-Grimm_Frederic_Hitler_et_la_France


Joachim Von Ribbentrop

 1938 - Préface de J. Von Ribbentrop - Ministre des Affaires étrangères du Reich

J'approuve entièrement l'idée de publier un recueil des déclarations de principe du Führer et Chancelier quant au problème France-Allemagne. Les nombreuses entrevues qui ont eu lieu entre les anciens combattants et la jeunesse des deux pays ont montré qu'une volonté existe en Allemagne et en France de surmonter la méfiance réciproque et de tirer des événements de la grande guerre les conclusions qui s'imposent pour les deux peuples. Comme la volonté et les intentions du Chancelier n'ont pas toujours été interprétées dans l'opinion politique à l'étranger d'une manière juste, cette publication peut être d'une grande utilité, parce qu'elle fait ressortir les idées du Führer-Chancelier telles qu'il les a formulées lui-même, en de nombreuses occasions, sur les rapports franco-allemands.

 Il y a plus de cinq ans que M. Hitler est au pouvoir; en de nombreuses occasions, le maître actuel de l'Allemagne a développé ses idées, précisé sa pensée sur le problème franco-allemand. M. Grimm, député au Reichstag et professeur de droit international à l'Université de Munster, a jugé le moment tenu de réunir les principales déclarations publiques et privées du Führer Chancelier du IIIe Reich au cours de ces dernières années, sur les relations franco-allemandes.

 

Hitler et des enfants

 

Avocat, ayant assumé pendant la guerre la défense de nombreux Français et Belges devant les Conseils de guerre allemands, dans les régions envahies, Vice-président de la Société franco-allemande (Deutsch-Franzosische Gesellschaft) à Berlin, le professeur Grimm était particulièrement qualifié pour cette tâche.

Les textes qu'il publie sont précédés d'une introduction où il s'est efforcé de démontrer la possibilité, pour la France républicaine, de réaliser une entente avec l'Allemagne actuelle, à l'aide d'arguments qui lui sont personnels et qui n'engagent que sa propre responsabilité, mais qu'il nous a paru intéressant de présenter au public en toute objectivité.

En grand avocat, il plaide une Cause dont personne aujourd'hui ne conteste l'importance, la Cause du rapprochement franco-allemand, indispensable â l'établissement d'une large paix européenne.


By Propagandes.info

21 avril 2012

Barbès, bienvenue dans « la France d’après » ?

paris-18-barbes-002



Les zones  de nos villes et banlieues très largement colonisées par l’immigration  extra européenne sont elles soumises de fait à un régime d’exception ? Force  peut elle encore rester à la loi ? Dans le quartier  « pluriel » de Barbès (XVIIIe arrondissement de Paris),  un policier de la  Brigade des Réseaux Ferrés a été grièvement blessé dimanche  par  un « jeune » voleur,  dans des circonstances hélas qui n’ont rien d’exceptionnelles.

Alors que cet agent  avait réussi, en compagnie  de la victime de ce  vol  à l’arraché,  à rattraper ce  délinquant,  la situation a vite dégénéré.  Stéphanie Weber-Boyer, déléguée syndicale du syndicat Alliance a expliqué que le voleur « a interpellé la foule et lui a demandé de se rebeller contre la police et contre la victime des faits. Ce que la foule a fait. Trois coups de couteau ont été portés à mon collègue, deux à l’abdomen et un à la fesse. Et tout le monde a pris la fuite ».

Ce « banal fait divers »,  qui aurait pu se solder par la mort de ce policier, illustre bien  la difficulté croissante des forces de l’ordre à intervenir dans les zones babélisées où les  réflexes de solidarités « tribales, » ethniques » religieuses ou tout simplement mafieuses  l’emportent  sur les lois de la République. L’aboutissement de décennies d’immigration « subie » et  choisie »…


By Propagandes.info

Publicité
Publicité
21 avril 2012

Faux attentats, faux massacres, fausses attaques : La recette bien connue pour entrer en guerre. Tactique des USionistes.


Le peuple toujours cocu.Cela commence le 7 mai 1915 (et même peut-être dès la guerre de sécession du Nord contre les États du Sud des États-Unis qui voulaient leur indépendance) lorsque le U Boot 20 torpilla un navire de guerre américain déguisé en bateau civil, “le Lusitania”. Mais l’Allemagne pas dupe avait prévenu l’Amérique qu’elle torpillerait ce bateau transportant des armes et des munitions.

 

 

Malgré les documents cachés et/ou falsifiés à l’époque, on sait — au moins depuis 1972 — que le Lusitania était bien un « croiseur auxiliaire armé ».

Au moment de l’attaque, il transportait vraisemblablement 5 248 caisses d’obus, 4 927 boîtes de 1 000 cartouches chacune et 2 000 caisses de munitions d’armes de poing ou 5 468 caisses d’obus shrapnels et cartouches.

Pour d’autres, c’étaient 4 200 caisses de cartouches de fusil, 1 248 caisses d’obus d’artillerie et 18 caisses de fusées. Certains croient qu’il a pu y avoir eu beaucoup plus de munitions dans les cales et une rumeur évoque des lingots d’or.

D’autres auteurs encore évoquent la présence d’explosifs cachés dans un pseudo lot de 323 balles de fourrures destinées à la société de Liverpool de B.f. Babcock et Co. Babcock ne s’étant jamais occupé de fourrure, mais ayant précédemment reçu plusieurs livraisons de « coton-poudre », puissant explosif à base de nitrate de cellulose (notamment du coton). Parmi les marchandises embarquées, figuraient 3 863 « boîtes de fromage » de 40 livres chacune destinées à une boîte postale de Liverpool, qui s’est avérée appartenir au superintendant du Naval Experimental Establishment de Shoeburyness.

Ce sont 51 tonnes d’obus shrapnell (three-inch bullet shells), six millions de balles de fusil (cal.303) et une quantité indéterminée de « coton-poudre » (explosif à base de nitrate de cellulose) et 200 t de munitions pour armes de poing que le Queen Margareth n’avait pu embarquer en raison de difficultés techniques. À partir de 1914, il aurait violé la loi en transportant des munitions lors de tous ses voyages (hormis le premier), sachant que le transport de munitions par des bateaux civils a probablement été fréquent à cette époque.

Le torpillage du Lusitania accompagné par la promesse des Britanniques de créer (promesse qu’ils ne tiendront pas) un Etat juif en Palestine (Balfour) en échange de l’entrée en guerre des USA, sera le prétexte pour déclarer la guerre à l’Allemagne impériale en 1917.

1941 : Attaque de Pearl Habour par les Japonais dont le pays subissait le blocus des USA et donc une famine sans précédent. Les japonais, comme un animal dont la meilleure défense est l’attaque, sont contraint d’attaquer l’Amérique pour rompre le blocus. Les USA n’attendaient que ce prétexte pour attaquer.

1942 : un faux plan d’invasion des États-Unis par l’Allemagne ralliera encore une fois de plus l’opinion publique américaine. Après avoir déclaré la guerre à l’Allemagne, la propagande juive provoque une seconde guerre fratricide entre grandes nations blanches (principalement).

 
 
Les juifs déclarent la guerre à l'Allemagne en 1933
 
 
Mais ce n’est pas tout. Désormais la machine diabolique est bien rodée.
 
 
 La guerre du Vietnam est déclarée après que des navires de guerre américains aient été attaqués dans la baie du Tonquin. Ce qui est encore un mensonge plonge le peuple américain dans la guerre :

2 août 1964, le destroyer américain USS Maddox (DD-731), au cours d’une mission de reconnaissance  dans le golfe de Tonkin commencée le 31 juillet , est attaqué dans les eaux internationales par trois canonnières nord-vietnamiennes. Le Maddox, après avoir seulement été atteint par une balle de mitrailleuse, se replie dans les eaux sud-vietnamiennes où il est rejoint par le destroyer C. Turner Joy.Le 30 novembre 2005, la National Security Agency rend publiques des centaines de pages de documents secrets sur l’incident du Golfe de Tonkin de 1964. Bien que l’information obtenue bien après le soir du 4 août indique qu’il n’y a pas eu concrètement d’attaque nord-vietnamienne, les autorités américaines et tout l’équipage ont affirmé à l’époque qu’une attaque avait eu lieu. En 1995, le général à la retraite Nguyen Giap dans un entretien avec l’ex-secrétaire à la défense Robert Mcnamara, dénie catégoriquement que les canonnières aient attaqué les destroyers américains le 4 août 1964. Il est d’ailleurs établi aujourd’hui que les Incidents du Golfe de Tonkin ont été instrumentalisés pour permettre une escalade de l’intervention des USA dans le conflit indochinois.

 

Quelques années auparavant en mars 1962, le Juif Lyman Leimnitzer, chef d’état major des armées américaines invente un scénario pour attaquer Cuba. Il s’agit de simuler une attaque des Cubains sur des intérêts américains et notamment la destruction d’un avion transportant des étudiants (voir la vidéo Loose change 2, 1ère minute du doc).

Cette fois le plan démoniaque fut rejeté par Mac Namara et Leimnitzer fut limogé.

Et ça, c’est pas diabolique ?

 

L'USS Liberty après l'attaque israëlienne


1967; le 8 juin, durant la guerre des 6 jours.Israël bombarde l’USS Liberty avec son aviation et tente de faire porter le chapeau à l’Egypte pour provoquer l’entrée en guerre de son allié, les Etats-Unis. Les Américains ne riposteront pas à cette trahison, c’est dire leur degré de soumission ou plutôt cela montre combien les Etats-Unis sont dans la mains des Juifs. Cependant ce qui reste de commandement Goy (non juif) ne se laisserai pas entraîner dans la guerre pour une fois.

 

1991, première invasion de l’Irak. Le prétexte est le massacre de nourrissons koweitiens dans un hôpital par les soldats irakiens. L’info est relayée par les médias du monde entier en boucle.

1994. La guerre des Balkans. Sous prétexte de (faux) massacres commis par les Serbes, les USA de Clinton et son vassal aux ordres, l’Union européenne envahissent la Serbie et détruisent ses infrastructures, puis mettent hors la loi son président démocratiquement élu.

Inside job du 11 septembre 2001. L’attaque des tours du World Trade Center donne un prétexte pour l’agression de l’Afghanistan (pays d’où le trafic d’opium avait quasiment disparu grâce aux autorités religieuses musulmanes qui gouvernaient le pays), puis de l’Irak, (pays arabe le plus laïc et le plus libre avec la Syrie), en 2003.


Et les choses s’accélèrent :


2011 : Lybie. Plus raffiné cette fois ; la complicité de l’ONU. Sous prétexte d’intervention humanitaire, les USA, secondés par leurs vassaux, les juifs Sarkozy et Gordon Brown frappent la Libye et provoquent la guerre civile et le massacre du dirigeant Mouamar Kaddafi et de sa famille.

Fin 2011, Israël ne cesse les provocations et les mensonges à l’égard de l’Iran dans le but de jeter le monde dans la guerre. Les mensonges s’accumulent quand à la détention d’armes nucléaires, exactement comme les fameuses “armes de destruction massives” de l’Irak.

 Fin 2011, l’ONU au service des USionistesprovoque des troubles en Syrie et prétexte encore une fois des atteintes aux droits de l’homme du gouvernement syrien pour préparer un plan d’attaque.


La recette est pourtant simple :


Il faut faire croire :

  1. que notre camp ne veut pas la guerre
  2. que l’adversaire en est responsable
  3. qu’il est moralement condamnable
  4. que la guerre a de nobles buts
  5. que l’ennemi commet des atrocités délibérées (pas nous)
  6. qu’il subit bien plus de pertes que nous
  7. que Dieu est avec nous
  8. que le monde de l’art et de la culture approuve notre combat
  9. que l’ennemi utilise des armes illicites (pas nous)
  10. que ceux qui doutent des neuf premiers points sont soit des traîtres, soit des victimes des mensonges adverses (car l’ennemi, contrairement à nous qui informons, fait de la propagande).

 

Oui, le peuple est bête et n’a aucune mémoire. Et surtout le goy (non juif) est d’une naïveté déconcertante. C’est cela qui fait en partie la force des Juifs.

C’est aussi pour cela qu’un régime démocratique leur est si profitable !

A chaque fois c’est la presse juive qui s’est chargée de la propagande pour faire pencher l’opinion du peuple en faveur de la guerre.

La campagne de propagande des juifs Walter Lippman et Edward Bernays (neveu de Freud) effectuée pendant six mois en 1916 fut si intense que l’hystérie anti-allemande générée a impressionné l’industrie américaine, qui découvrait tout à coup les immenses ressources que l’on pouvait déployer pour influencer l’opinion publique d’un pays entier. Bernays a inventé les termes d’esprit de groupe et d’ingénierie du consentement, des concepts importants en propagande appliquée. 

Voilà. Pour résumer. Continuez à croire en la démocratie, à écouter les infos à la radio, la télévision et les journaux officiels et subventionnés par l’État. Continuez à voter pour les mêmes, à soutenir le pouvoir sioniste et les banques mondiales. Continuez à fermer les yeux et à regarder le foot, ou les reality show, hypnotisés devant votre écran.

Tout est bien dans le meilleur des mondes et surtout …on ne vous ment pas. Alors continuez à dormir et à vivre par procuration, mais bientôt il sera trop tard.


By Propagandes.info

21 avril 2012

TUEZ-LES TOUS !

Ce n’est pas nous qui le disons, mais le général israélien Yaakov Amidror, qui préconise de "loger une balle dans la tête" des soldats israéliens qui refusent d’obtempérer aux ordres de leurs supérieurs !


 

Les soldats de l’Armée israélienne de défense qui ne veulent pas combattre doivent être abattus », a déclaré un candidat au poste de conseiller à la Sécurité nationale, rapporte Haaretz.

Le général de division Yaakov Amidror, candidat au poste de Conseiller à la Sécurité nationale, a déclaré publiquement que les soldats doivent tuer quiconque se met sur leur chemin quand ils accomplissent leur mission – et que les soldats israéliens qui refusent d’attaquer doivent également être abattus.

« Un soldat qui ne veut pas attaquer quand on lui dit « en avant » parce qu’il dit que « deux soldats à ma droite et deux soldats à ma gauche ont déjà été tués, alors je ne bougerai pas » eh bien, tout système militaire normal doit lui loger une balle dans la tête, et un système libéral doit le mettre en prison » a déclaré Amidror, qui parlait lors d’une conférence organisée par l’Institut israélien pour la démocratie » sur le thème « Valeurs nationales au cœur des Forces israéliennes de défense ».

(…) D’ailleurs, a-t-il expliqué, « l’armée est « une organisation destinée à tuer. C’est toute une organisation qui dit au peuple vous tuerez et vous serez tués ».

By Propagandes.info

21 avril 2012

« J’ai tout inventé pour renverser Saddam Hussein »


arton5489-7b2e8


L’ingénieur chimiste irakien, dont le témoignage sur l’existence d’armes bactériologiques a joué un rôle crucial dans le déclenchement de la seconde guerre d’Irak, reconnaît enfin avoir menti.

Son témoignage était au cœur des justifications américaines pour envahir l’Irak en 2003. Le dissident irakien, à l’origine des informations sur l’existence d’armes bactériologiques, confie pour la première fois au Guardian mercredi avoir tout inventé pour renverser Saddam Hussein.

Rafid Ahmed Alwan al-Janabi avait jusqu’ici maintenu ses révélations, même si les enquêtes de plusieurs services secrets, relayées par la presse, les avaient déclarées sans fondement. L’ingénieur chimiste fuit l’Irak en 1999 et se réfugie en Allemagne.

Il est approché en 2000 par les services secrets allemands, le BND. Rafid travaille dans une usine de semences sous contrôle de l’armée. Mais il prétend au BND que l’usine produit des armes bactériologiques et qu’il en est l’ancien directeur.

Il assure que l'Irak possède des camions transportant des armes bactériologiques et que le pays construit des usines d'armement clandestines.

Le renseignement allemand cherche à vérifier ses informations et interroge le supérieur de Rafid, l'ancien chef de la Commission des industries militaires en Irak, en exil à Dubaï. Bassil Latif affirme qu'il n'y a en Irak ni camions ni usines secrètes. Rafid Ahmed Alwan al-Janabi, à qui l'Etat allemand a octroyé une allocation et un appartement, reconnaît avoir fabulé. Mais le BND continue à lui faire confiance et le recontacte en 2002. Selon Rafid, les services secrets font pression sur lui, lui disant que sa femme enceinte ne pourra entrer en Allemagne s'il ne donne pas plus de détails sur les armes de destruction massives de Saddam Hussein. Rafid obtempère, sans savoir que Berlin transmet ses aveux aux autorités américaines.

Rafid ne regrette rien et espère intéresser un éditeur

 

L'ingénieur, répondant au nom de code Curveball, découvre l'importance de son témoignage lors du discours de Colin Powell à l'ONU, en mars 2003. A sa surprise, le secrétaire d'Etat de l'époque le désigne sans révéler son nom comme sa source et invoque ses révélations pour justifier la future invasion américaine. Furieux, Rafid, qui ne voulait pas que ses aveux soient transmis à des pays étrangers, tance le BND, qui le met à l'isolation pendant 90 jours. Le BND est lui aussi «sous le choc». «Nous avions toujours dit à Washington que ce n'était pas prouvé, que Curveball n'avait jamais vu personne produire des armes biologiques», déplore un responsable en 2005 à la presse américaine. Malgré son rôle clé, Rafid n'a aucun remord. Il assure avoir agi pour libérer l'Irak du joug de la dictature. «Peut-être avais-je raison, peut-être avais-je tort», mais «il n'y avait pas d'autre moyen pour instaurer la liberté», affirme-t-il au Guardian. «J'avais l'opportunité unique de renverser le régime, je suis fier d'avoir donné au pays un peu de démocratie».

Des motifs nobles sur lesquels plane le doute. Selon la CIA, Rafid aurait monnayé ses confessions contre l'obtention de l'asile politique en Allemagne, ce que le dissident dément. Si Rafid, dont l'identité a été révélée au grand jour par CBS en 2007, parle aujourd'hui, c'est qu'il espère que son histoire intéressera un éditeur ou un réalisateur. L'ingénieur dit être en mauvaise posture depuis que les autorités allemandes lui ont retiré son appartement et son téléphone. Ses révélations ont été néanmoins été saluées par l'ancien responsable Europe de la CIA qui les a trouvées «fascinantes». «Je me sens mieux. Encore aujourd'hui, des gens croient que ses allégations avaient un fond de vérité».

 

21 avril 2012

Le Peuple Elu, un petit peuple, spécialiste pour faire croire le contraire...

Voici une reconstitution du fameux Temple de Salomon (ou Temple de Jérusalem) dont les juifs déplorent tant la destruction (par les Romains en 70 après Jésus-Christ, d'où leur haine tenace) et qu'ils rêvent de rebâtir depuis si longtemps...

 

 
 
Minable, non? Petit peuple, petite culture...
En voyant ce minable bunker, on comprend la différence entre de grands peuples aux grandes cultures et de petits peuples forcés de parasiter les premiers...

Avec leur spiritualité à deux balles (et leurs quelques rouleaux talmudiques minables), les juifs se prennent pour un grand peuple alors que de grands peuples fondent de grandes cultures et les petits peuples en sont réduits à essayer de profiter de la lumière et la grandeur des premiers, et dans la mesure du possible de s'en attribuer une partie du mérite...

Ces dernières décennies, ce petit peuple a tenté de faire croire aux autres le contraire (et y est parvenu). Le "peuple élu" a essayé de se faire passer pour le plus fin et le plus intelligent des peuples et tout ce qu'il a réussi à engendrer, ce sont des "génies" comme le plagiaire Albert Einstein (Einstein : l'imposture de la paternité de la théorie de la relativité pour propager le mythe de la supériorité juive!) ou l'obsédé sexuel cocaïnomane Sigmund Freud (Freud: plus étroitement apparenté à L. Ron Hubbard qu'à Darwin...), ainsi que des "artistes" sans talent comme Picasso ou Kafka...sans oublier Gérard Miller et Mickaël Vendetta...

Quelle meilleure preuve de la petitesse de ce peuple que l'abîme de nullité et de médiocrité dans laquelle l'Europe a été plongée depuis qu'il a pris les commandes de la production artistique et scientifique de ce continent qui fut jadis si grand et brillant?
 
 
21 avril 2012

Quelques citations historiques critiques à propos des juifs


2011-06-14-satan


Antiquité 
DIODORE (30 av. J.C. – 20 apr. J.C.) : « Les amis du roi Antiochus (175 av. J.C. – 163) lui avaient conseillé d’expulser les Juifs parce que ceux-ci ne voulaient pas se mêler aux autres et considéraient chacun comme leur ennemi. » 


SÉNÉQUE (4 av. J.C. – 65 apr. J.C.) : « Les coutumes de ce maudit peuple sont demeurées si solides qu’il s’est répandu à travers tous les pays ; les vaincus ont imposé leurs lois aux vainqueurs. » 


TACITE (55 – 120) : « La plupart des auteurs s’accordent à reconnaître qu’à la suite d’une dégoûtante maladie qui s’était propagée en Égypte, le roi Bocchoris avait reçu de son oracle l’avis de purifier son royaume en chassant les Juifs, car c’est une race haïe des dieux et des hommes. Afin de garder le peuple sous sa coupe, Moïse lui donna des lois nouvelles ; tout ce qui est sacré pour nous est méprisable aux yeux des Juifs, et tout ce qui nous fait horreur leur est permis. » 


MAHOMET (571 – 632) : « Je ne m’explique pas qu’on n’ait pas depuis longtemps chassé ces bêtes malfaisantes qui respirent la mort. Est-ce qu’on ne tuerait pas immédiatement des bêtes qui dévoreraient les hommes, même si elles avaient forme humaine ? Que sont les Juifs sinon des dévorateurs d’hommes ? » 

121 

SAINT-JUSTIN (166) : « Les Juifs étaient derrière toutes les persécutions que subissaient les Chrétiens. Ils erraient par tout le pays, propageant la haine des Chrétiens et minant leur foi. » 


TERTULLIEN (160 – 230) : « Les Juifs constituent le champ d’ensemencement de toute action anti-chrétienne. »


Moyen-Âge


GONTRAN, Roi de France (525 – 593) : En 585, le roi Gontran vint à Orléans ; tout le monde l’acclamait, même les Juifs, et eux criaient plus fort que tous les autres. Le roi dit : « Malheur à cette nation juive méchante et perfide, ne vivant que de fourberies. Ils me prodiguent aujourd’hui de bruyantes acclamations, c’est qu’ils veulent obtenir de moi que j’ordonne de relever, aux frais publics, leur synagogue que les chrétiens ont détruite ; mais je ne le ferai pas : Dieu le défend. » 


L’abbé TRITHEME de Wurzbourg (1462 – 1516) : « Il est hors de doute qu’une aversion croissante est en train de se faire jour contre les usuriers juifs, tant parmi les grands que parmi les humbles. Je suis partisan de mesures légales qui empêcheraient l’exploitation du peuple par les usuriers juifs. Va-t-on laisser des étrangers envahisseurs régner sur nous ? Et régner sur nous, non en raison d’une force ou d’un courage supérieurs, d’une vertu plus haute, mais seulement au moyen de leur vil argent ? Ces gens vont-ils s’engraisser impunément de la sueur du paysan et de l’artisan ? » 


LUTHER (1483 – 1546) : « Comme les Juifs aiment le Livre d’Esther, qui correspond si bien à leur appétit de vengeance, à leurs espoirs meurtriers ! Le soleil n’a jamais brillé sur un peuple plus assoiffé de sang, plus vindicatif que celui-ci, qui se prend pour le peuple élu afin d’avoir licence d’assassiner et d’étrangler les Gentils. Il n’y pas de créatures, sous le soleil, plus avides qu’ils sont, ont été, et seront – il n’est que de les voir pratiquer leur maudite usure. – Ils se flattent de l’espoir que lorsque le messie viendra, il rassemblera tout l’or et tout l’argent du monde et le leur partagera. Je suis d’avis qu’on brûle leurs synagogues, ce qui ne pourra pas brûler qu’on le couvre de terre afin qu’on n’en puisse plus rien voir… On devrait détruire tous leurs livres de prières, tous les exemplaires de leur Talmud où ils apprennent tant d’impiétés, tant de mensonges, de malédictions et de blasphèmes… Aux jeunes Juifs et aux jeunes Juives il faudrait donner le pic et la houe, la quenouille et le fuseau afin qu’ils gagnent leur pain à la sueur de leur nez… » 


ÉRASME (1487) : « Que de vols, quelle oppression subissent les pauvres, victimes des Juifs ! Des souffrances telles, qu’ils ne sauraient souffrir plus longtemps – Dieu les prennent en pitié ! Les usuriers juifs sont profondément implantés jusque dans les plus petits villages et prêtent-ils cinq gulders, qu’ils exigent un reçu de six fois davantage. Ils réclament intérêts sur intérêts et par là-dessus des intérêts encore – de sorte que le pauvre malheureux perd tout ce qui lui appartient. »


Jusqu’à nos jours


Le Pape CLÉMENT VIII (1605) : « Le monde entier souffre de l’usure des Juifs, de leurs monopoles, de leurs tromperies. Ils ont réduit nombre d’infortunés à la misère, surtout des fermiers, des artisans, et les plus besogneux des pauvres. » 



VOLTAIRE (1694 – 1778) : « Les Juifs ne sont qu’un peuple ignorant et barbare qui allie depuis longtemps la plus répugnante avarice et la plus abominable superstition à une haine inextinguible pour tous les peuples qui les tolèrent et grâce auxquels ils s’enrichissent. » 


MARIE-THÉRÈSE, impératrice d’Autriche (1777) : « Je ne connais peste plus nuisible à l’État que cette nation qui réduit les gens à la pauvreté par la fraude, l’usure, les contrats financiers, et qui se livre à toutes sortes de mauvaises pratiques qu’un honnête homme abominerait. » 


Benjamin FRANKLIN (1787). Débats préliminaires de la Constitution américaine : « Dans tous les pays où les Juifs se sont installés en nombre, ils ont abaissé le niveau moral, discrédité l’intégrité commerciale, ils ont fait bande à part sans s’assimiler jamais aux autres citoyens. Ils ont tourné la religion chrétienne en ridicule et tenté de la miner… Ils ont bâti un État dans l’État et quand on leur a opposé de la résistance, ils ont essayé d’étrangler financièrement le pays… Si vous ne les excluez pas des Etats-Unis dans cette constitution, en moins de deux-cents ans ils y fourmilleront en quantités si considérables qu’ils domineront et dévoreront notre patrie et changeront la forme du gouvernement… Si vous n’interdisez pas aux Juifs l’accès de ce pays, en moins de deux-cents ans, vos descendants travailleront la terre pour pourvoir à la subsistance d’intrus qui resteront à se frotter les mains derrière leurs comptoirs. Je vous avertis, Messieurs, si vous n’excluez pas pour toujours les Juifs de notre communauté, nos enfants vous maudiront dans vos tombes… Les Juifs, Messieurs, sont des asiates… Ils ne seront jamais autre chose… » 


NAPOLÉON 1er (1808), écrivant à son frère Jérôme : « J’ai décidé de faire quelque chose pour les Juifs ; mais je n’en veux pas voir entrer davantage dans mon royaume ; vraiment j’ai tout fait pour prouver mon mépris envers cette nation, la plus vile de l’univers. » 


Mr NEWDIGATE à la Chambre des Communes, le 22 mars 1858 : « Je ne crois pas qu’un Juif puisse devenir un bon membre de cette assemblée, car le Juif est un strict observateur du Talmud et les tendances du Talmud ont, je me fais fort de le démontrer, un caractère amoral, anti-social, et anti-national… Les Juifs ont été soit directement, soit indirectement, fautifs de tous les troubles et de toutes les révolutions. Ils ont causé la ruine et la misère de leurs contemporains par les moyens les plus abjects et les plus tortueux. » 


Le général GRANT (1861) : Durant la guerre civile américaine, la deuxième ordonnance du général Grant est ainsi conçue : « Les Juifs violent tous les règlements commerciaux édictés par la Trésorerie ; ils enfreignent également les ordres promulgués, aussi sont-ils expulsés du territoire qu’ils devront avoir évacué dans les vingt-quatre heures qui suivront la promulgation de cette ordonnance. » 


Paul KRUGER, Président de la République du Transvaal, prenant la parole sur la place du marché à Johannesburg, en février 1899 : « S’il était possible de mettre carrément les Juifs à la porte de ce pays sans risquer la guerre avec la Grande-Bretagne, le problème de la paix perpétuelle serait résolu en Afrique du Sud. » 


Enfin, de Léon BLUM, lui-même (Avocat conseil de Mr Bader) : « Le goût de vivre, le besoin de s’accroître, de dominer ; les forces juives, en un mot. » 

« Mis au service du socialisme international, le capital juif ferait assurément de grandes choses. » 

« Mais il est encore essentiel d’observer que si les Juifs interviennent dans la lutte sociale… ce sera pour obéir à la loi naturelle de leur race. »


By  Propagandes.info

Publicité
Publicité
1 2 3 > >>
France conquise mais pas soumise !
Publicité
Archives
Publicité